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Ian Hayes, pour sa part, signale également sur le NT-Bugtraq que sa version de nmap 3.55 tombe en pamoisons après installation du SP2, et reprend ses esprits lorsque le correctif est ôté. Enfin, Byrne Ghavalas précise –la chose avait été « remontée » de nombreuses fois durant les phase Beta du Service Pack-, que le patch installe l’édition 4.7 de Messenger contre vents et marées, y compris si la machine de l’intéressé est déjà équipé d’un MSN Messenger 6.2... au prix du gigaoctet payé par les autres, tout çà ne coûte pas trop cher à Microsoft. Reste que l’assassinat de la version « spartiate » de Messenger n’est pas toujours possible via le panneau de configuration. Byrne Ghavalas conseille donc de trucider cette installation sauvage à l’aide de la commande en ligne suivante :
RunDll32 advpack.dll,LaunchINFSection%windir%\INF\msmsgs.inf,BLC.Remove
Les administrateurs cherchant à endiguer les problèmes potentiels d’un déploiement trop rapide peuvent toujours se reporter sur l’article du Technet intitulé « Désactiver temporairement de déploiement du Service Pack 2 par le biais de Windows Update et Automatic Updates ».
Rappelons que toutes les informations techniques relatives aux SP2 se sont vues attribuer un chapitre spécifique sur le site de Microsoft. Les développeurs, quant à eux, se reporteront sur une série de livres blancs et de communiqués plus techniques. Cette liste de lien ne serait pas complète si l’on oubliait l’url du centre de support, émaillée de liens vers des pages rédigées en anglais et d’une lecture indispensables avant que de se lancer dans la diffusion de la super rustine.
Par Marc Olanié (R&T)
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