"C'est nettement plus agaçant qu'il y a encore un an, lorsque la proportion devait être de l'ordre de 35% et que les gens pouvaient peut-être supporter ça jusqu'à un certain point", a déclaré M. Horton à la presse.
"Les gens deviennent moins patients aujourd'hui et sont prêts à cesser d'utiliser l'internet pour le travail ou pour la vie privée", a-t-il estimé.
La réunion qui s'est ouverte à Genève, la première jamais organisée à propos du pourriel, doit permettre de renforcer la coopération internationale nécessaire pour endiguer le fléau dans un délai de deux ans, a-t-il espéré.
Comme première étape, les organismes de régulation du secteur devraient mettre en place un annuaire international de contacts dans chaque pays, le problème du pourriel étant souvent traité par différents organismes.
Les participants devraient également échanger des idées à propos des différents types de législations qui sont actuellement mises en place dans plusieurs pays comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la Corée du Sud.
Par l'AFP (Le 07 Juillet 2004)
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