Les éditeurs de musique sont prêts à tout pour préserver leurs intérêts. Y compris, soupçonnent certains participants du Bugtraq, le recours à des méthodes de crapules : Un album CD des Beasty Boys édité par Capitol comporterait un « autorun » ayant pour fonction première d’injecter un EXE sur le poste de l’acheteur. En théorie, ce programme serait placé là pour interdire les copies illégales.
D’un point de vue purement technique, il s’agit d’un programme installé sans le consentement de l’usager, d’un troyen , d’un virus, d’un spyware « actif », bref, quelque soit le nom que l’on donne à cette chose, d’une indélicatesse qui relève du droit commun.
|
|